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Lily Noire, Teru-bō Rain

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[Mission - Commerce anormalement populaire] Javier

Commerce anormalement populaire

Javier leva les mains au ciel, coupable. Pas besoin de s'énerver aurait-il voulu dire, mais il perdrait à coup sûr son job. Alors il se contenta de retourner au travail, se moquant du gérant en l'imitant. Heureusement, ce dernier était déjà trop occupé pour le remarquer. Javier crut d'abord qu'il s'occupait d'un client, mais la conversation était loin d'être anodine alors il décida, une nouvelle fois, de laisser en plan ses cartons pour espionner ce qui se passait.

Un homme avec un grand chapeau était là, il pouvait les voir discuter, mais aucun son n'atteignait ses oreilles. Javier en eut une mine renfrognée, mais constata bien vite qu'il lui fallait ouvrir la porte s'il voulait entendre quelques échos. Le nouvel interlocuteur semblait n'en avoir rien à faire des plaintes du gérant - ce qui amusa fortement Javier qui rigolait comme un gogol en se croyant bien caché -, mais la plaisanterie cessa presque aussitôt lorsque l'homme au chapeau se tourna vers lui, déclarant que ça sentait la nourriture avariée avant de couvrir son nez avec un mouchoir..

L'espagnol se stoppa net, plissa les yeux et réfléchit quelques secondes. Il parle de moi là, moi j'pue moi ?! Ce fut au tour du gérant de s'adresser à lui, lui criant de retourner travailler.

"J'pue même pas déjà, pff"

C'était même plus drôle, son visage était rouge, il pouvait sentir la honte lui chauffer les oreilles. Il vivait en plein air, il se lavait lorsque la pluie venait et il prenait des bains dans les grandes flaques - quand il pouvait en trouver -, même que parfois, il trouvait des fleurs qui sentait bon pour en faire un parfum - il les frottait sur son cou, quoi -. Alors, c'était impossible qu'il sente la viande invariée. Un mine boudeuse collée au visage, Javier se demanda un instant s'il ferait pas mieux de défoncer tous les cartons devant lui et de tirer la langue au gérant pour faire son compte rendu au mec d'en face : mais il se ravisa, il fallait en savoir un peu plus.

Deux choix s'offraient à lui :

- soit il intimidait le gérant, dans ce cas-là, il attendrait qu'il vienne le voir pour lui faire un front contre front et de faire des gestes de gang pour l'effrayer. Hééee, j'rigole pas avec toi, moi, c'est qui ce mec, là, tu sais pas qui j'suis moi, c'est quoi ces carabistouilles qu'tu fais là, si tu veux pas de gros problèmes, tu m'dis ce qui passe ici t'as vu maintenant.
- soit il n'avait aucun honneur, et il faisait semblant de pleurer avant de regarder le gérant et de lui demander pourquoi il lui avait pas dit qu'il puait. Pourquoi, sniff, vous m'avez pas dit que je sentais mauvais, sniff, j'ai des problèmes de confiance en moi et.. et.. maintenant j'ai des problèmes de confiance en vous, sniff, c'est qui ce mec, il est méchant, sniff.

Maintenant il fallait juste attendre que le gérant revienne.

Javier parle #FCDC12

KoalaVolant

[Mission - Commerce anormalement populaire] Javier

Commerce anormalement populaire

Javier plissa les yeux devant la suspicion du gérant du magasin, bien sûr que ce dernier n'allait pas poser de question sur la raison de son boulet au pied, tout ce qui était anormal à Weirdtown était normal, puis de toute manière, le franco-espagnol n'aurait pas répondu. Toujours avec cette même humeur massacrante, et pourtant pas très emballé par la mission, Javier ne put s'empêcher de lever les mains au ciel, comme un criminel prit en flagrant délit, devant les accusations de l'autre homme.

Vous allez voir, monsieur, je serais le meilleur employé qu'vous n'ayez jamais eu

Et sur ces mots, le jeune homme leva son bras gauche pour montrer ses muscles - rien de bien foufou, en soi, mais ça restait correct - avant de se diriger et trainer son boulet vers lesdits cartons. Mh, grand et costaud, c'est l'impression qu'il donnait, mais la vérité était que ses muscles semblaient l'abandonner ces derniers temps. Ceux de ses bras en tout cas, nombreuses sont ces fois où l'homme se sentait tomber en arrière alors qu'il essayait de grimper dans sa cabane.. C'était pour cette raison, pour cet épuisement soudain, qu'il devait impérativement se débarrasser de ce poids lourd au pied.

Devant devant les palettes, ça faisait maintenant quelques minutes qu'il s'y trouvait debout, tout penaud, à ne pas savoir comment faire : il devait gagner du temps pour éviter de se faire virer, alors jetant un coup d'œil au gérant, l'espagnol se mit à faire quelques squats.

Je m'échauffe, c'est important, dit-il avec un sourire débile au coin des lèvres.

Puis il se mit au travail, déplaçant un, puis deux cartons sur la palette. Il devait se l'avouer, c'était du sport de travailler, et il n'était pas sûr d'aimer ça. En fait, il était bien, pépouze dans sa forêt. Javier s'offrit une petite pause après avoir déposé un troisième carton, puis rejoignit le gérant. Accoudé nonchalamment sur la caisse, le jeune homme fixait l'autre avec une expression indéchiffrable sur le visage. Au moment même où le gérant ouvrit la bouche, Javier l'interrompit :

Vous avez dit que vous préférez les actions aux paroles, c'est bien, mais je pense que votre concurrent en face, lui, c'est l'inverse. J'évite de faire ma commère normalement, mais là c'est grave, hein! Votre voisin d'en face, il m'a dit que vous cherchiez quelqu'un, mais il m'a surtout dit d'y réfléchir à deux fois avant de venir vous parler, il marqua une pause. Apparemment que vous feriez des trucs illégaux, des trucs sordides avec des clients mécontents.. M'enfin, c'est tout ce que j'avais à dire, j'espère que ça prouve de ma motivation. Aller, moi je retourne dans les cartons.

Il n'était pas un grand orateur, mais il était un bon menteur, et Javier espérait que ses mots attiseraient suffisamment la curiosité du gérant pour le pousser à dévoiler ses petits secrets.

Javier parle #FCDC12

KoalaVolant

[Mission - Commerce anormalement populaire] Javier

Commerce anormalement populaire

Comment était-ce possible ? Weirdtown était grand, Javier était même convaincu que c'était un territoire infini, alors comment se faisait-il qu'il ne cessait de croiser Jacob ? Ce dernier se dirigeait à cheval dans le malls, sans se soucier des crottins que son canasson lâchait derrière lui. Javier souffla, levant les yeux au ciel, ce n'était pas ses affaires, n'est-ce pas ?

Alors il décida de flâner dans les magasins, dans l'espoir de trouver quelqu'un à aider, mais l'odeur des magasins de sushi, de pizza et même des tacos le dégoûtait et l'écartait de ce qu'il cherchait, ce qui augmentait son irritabilité grandissante. En ce moment, ça n'allait pas fort, il se savait malade, mais refuser de rendre visite à un médecin. Qui allait-il consulter ? Avec quel argent ? Non, pas besoin il avait attrapé froid, voilà tout. Un mec au loin s'agitait, il était bruyant. Trop bruyant au goût de Javier qui se dirigeait maintenant vers l'homme.

Et son boulet au pied, qui retenait chacun de ses pas, lui faisait perdre patience. Il s'arrêta alors, le corps bouillant à la fois de maladie et de colère. Pas question d'aggraver sa situation en laissant sa rage prendre le dessus, il voulait se débarrasser de son boulet, pas en avoir un deuxième. Alors, en attendant de se calmer, le franco-espagnol observait le marchand.. en fait, il faisait carrément une fixation sur lui, planté en plein milieu du mall. Javier le montrait

"Toute cette popularité est bien trop soudaine! Je suis sûr qu'il y a quelque chose là-dessous! Je ne peux pas enquêter, j'ai une boutique à faire tourner et puis, évidemment, il se méfierait de moi si je venais l'observer dans sa boutique, je n'en retirerais rien. Par contre, si c'est vous, il ne soupçonnera rien et puis il est du genre bavard, je suis sûr que vous pourriez le faire parler en sympathisant avec lui ou en prétendant postuler pour son offre d'emploi!"

Là voilà la mission qu'il lui fallait pour supprimer son poids qui lui était attacher au pied : pour se débarrasser d'un boulet, il fallait aider un autre boulet. Sans un mot, se contentant de dévisager l'homme de haut en bas, Javier secoua la tête en se dirigeant nonchalamment le magasin d'en face. Nullement emballé, Javier demanda :

"Y a le capullo d'en face qui m'a envoyé ici, il parait que vous chercher quelqu'un ? J'ai pas mon cv sur moi, mais euuh, je suis l'homme parfait pour le rôle, je suis beau, gentil, Javier s'arrêta au milieu de sa phrase pour fixer l'homme d'un air fatigué, j'ai pas d'expérience, mais j'ai la motivation."

Pas sûr que ça fonctionne, mais au moins, il essayait. Javier n'avait jamais travailler de sa vie, même avant sa venue à Weirdtown (c'est ce qu'il lui semblait en tout cas), donc il n'était pas très doué dans tout ce qui était entretien d'embauche.

Javier parle #FCDC12

KoalaVolant

[Mission - Exercices physiques] Javier

Exercices Physiques

Son destin avait été tiré avec un jeu de cartes, Javier n’en revenait pas ! Et c’est en prenant le chemin vers sa forêt qu’il fut pris d’un fou rire presque dément, aider son prochain . Facile ! En revanche se faire poursuivre sans cesse par une créature qui voulait notre peau, ça s’était autre chose et du duo, c’était le gamin de 13 ans qui reçut cette punition. Weirdtown était toujours beaucoup de surprises, peut-être retournerait-il en ville plus souvent ? Au final, il ne s’en sortait pas mal du tout !
L’espagnol passa nonchalamment devant une salle de fitness, regardant à travers les vitres, un grand sourire carnassier, pour regarder les sportifs se trémousser en pratiquant leur sport. Une idée lui vint rapidement : qui disait salle de sport, voulait dire douche ! Parfait pour se débarbouiller de tout ce chocolat qui avait séché ! Rentrant dans la salle, l’homme salua joyeusement l’hôte à l’accueil qui ne put s’empêcher de le dévisager avec dégoût.

« C’est du chocolat »

L’homme ne répondit pas, se contentant de le laisser passer. Javier marcha à travers le bâtiment, recherchant les douches, il lui suffirait de piquer des vêtements après sa douche et il serait tout propre pour aller faire connaissance avec les weirdtownies qui faisaient tranquillement leur sport.

C’est cul nu que l’espagnol fixait les douches avec appréhension : depuis son arrivée à Weirdtown, sans trop qu’il ne sache pourquoi, l’eau l’effrayait un peu plus, chaque jour qui passait. Son instinct le poussait à fuir, tandis que sa raison voulait à tout prix qu’il se lave. Tu pues Javier, et t’es couvert de chocolat ! Une tape sur ses fesses le fit sursauter, un gros bonhomme passa à côté de lui en lâchant un rire gras :

« Reste pas au milieu, l’mexicain »

Rougissant, Javier grommela dans sa moustache que de 1, il n’était pas mexicain, mais espagnol, et que de 2, il aurait fallu lui demander et il se serait décalé. Il écouta sa raison, pour une fois, et entra dans les douches pour se placer aussi loin que possible de l’autre homme qui était rentré plus tôt, dos à lui. Javier frissonna lorsque l’eau entra en contact avec sa peau, c’était un effort surhumain de ne pas s’échapper, en plus, il pouvait sentir le regard moqueur de l’autre sur son dos. C’était de la faute des boss (ou de n’importe quelle force au-dessus) s’il était aussi apeuré en approchant l’eau car avant, quand il habitait en.. en.. quand il vivait à… mais si, à..

Quand il vivait où ?

Bon, il ne savait plus où il habitait avant, mais il y vivait, ça s’était sûr ! Même qu’il n’avait jamais eu peur de l’eau avant!

Javier se savonna à la va-vite, pour partir de cet enfer rapidement : il quitta les douches, réussit à trouver des vêtements sur un des bancs du vestiaire et enfin, il fut prêt. Un frisson lui parcourra l’échine, c’est bon, l’épreuve était finie. Enfin. C’est ce qu’il crut car à peine eut-il passé la porte, qu’une femme vint lui agripper le poignet.

« Où étiez-vous ?! Vos élèves vous attendent depuis 20 bonnes minutes ! »

Et cette dame avait une poigne de fer car il lui était impossible de s’extirper. Comment ça, des élèves ? En regardant l’insigne qui balançait sur son torse, il remarqua :

‘John Piscineexerciceboncourage’

Mierda. Il s’était mis dans un gros bourbier, lui qui ne faisait aucun sport dans sa vie, allait devoir faire un cours ? Avec un peu de chance, peut-être arriverait-il à s’en sortir une fois de plus?



Blanc comme un linge. Il devint blanc comme un linge. Il aurait pu faire des cours de tango, encourager des gens à pédaler plus vite sur les vélos électriques, aider les gens à lever leur poids, mais ça ?! Son cœur s’emballa car le voilà face à ce qui lui semblait être un océan infini. Le gros bonhomme, en slip cette fois-ci, passa à côté de lui à nouveau, lâchant le même rire gras pour se moquer de sa rigidité due à sa peur. L’autre instructeur arriva vers l’espagnol, presque en pleurs avant de lui souhaiter bon courage. En même temps, ça avait l’air d’être un fiasco total, et les ‘élèves’ avaient l’impression de juger l’ancien instructeur. Fort. Très fort.

Javier, qui collait le mur un maximum de peur de tomber dans l’eau, s’approcha de ses élèves et, sans perdre une seconde, la sirène du groupe n’hésita pas à le titiller :

« T’es instructeur de fitness dans l’eau et t’as peur de l’eau ? »

Hé, le culot !

« Et toi, et toi, toi, toi bégaya-t-il en remuant du doigt, comme un animal, il attaquait quand il avait peur. T’es une sirène et t’as besoin d’un instructeur pour apprendre à nager ? »

Ladite sirène afficha un léger sourire, avant de se taire.

« Tu peux rester devant, vous, vous allez derrière elle, et toi le poulpe, la pieuvre, le calamar ? Bref quoique tu sois, tu vas touuuuuuuuut derrière. »

Puis, jouant le jeu, l’espagnol – toujours collé au mur – commença à faire des gestes en passant ses bras au-dessus de sa tête : à droite, à gauche, à droite, à gauche, comme les quelques vidéos de fitness qu’il avait déjà vu. Le jeune homme fit de son mieux pour amuser la galerie, et bien sûr, ça fonctionnait, mais il avait baissé sa garde et sans l’avoir remarqué, il s’était approché beaucoup trop près du bord. Un pas de travers, marchant dans le vide, et Javier bascula dans l’eau.

Le jeune homme se débattait comme un diable, comme un cheval fougueux dans les rodéos, quand il arrivait à sortir sa tête de l’eau, Javier hurlait d’un cri étrangement constant. Son cri n’allait ni dans les aigus, ni dans les graves, c’était un cri fort, mais toujours dans le même ton. Bien vite, il put sentir des tentacules le toucher de par et d’autre de ses côtes pour le remettre droit, des mains vinrent immobiliser ses jambes qui continuaient de brasser l’eau.

« Mh, mais monsieur tu as pieds, hein ? »

Javier se calma d’un coup, ouvrit les yeux et regarda autour de lui.

"Ah bah ouais."

Javier te parle en #FCDC12. Après avoir reprit ses esprits pendant quelques secondes (le temps de remercier tout le monde de l'avoir aider), Javier s'est remis à paniquer comme un fou : il avait peut-être pied, mais il avait toujours peur de l'eau! En sortant de la piscine avec la même grâce qu'un chat qui essaierai de s'extirper de la même situation, le vrai instructeur déboula, criant qu'il lui avait piqué ses vêtements !

KoalaVolant

[Event de Pâques] : Donatello, Javier et Minho

En route les MGBVW

C'était le calme plat dans la forêt de Weirdtown où le vent lui-même, en ce jour, ne semblait même pas daigner à venir souffler entre les branches des arbres. Seul les grognements d'un homme se faisait entendre couplé aux bruissements d'un buisson qu'on chahutait. S'asseyant en tailleur, le dos courbé, Javier affichait une moue fatiguée : il venait de se réveiller au milieu des taillis, alors que le soleil était déjà haut dans le ciel. Le regard de l'espagnol déviait lentement de droite à gauche, comme un homme qui se réveillait avec une gueule de bois après une longue nuit de beuverie, alors qu'il cherchait à retrouver ses esprits. Pas d'ombre dans le coin de ses yeux, aucune trace d'un visiteur peu soucieux de sa sécurité devant lui, il n'y avait personne dans sa forêt. C'était trop silencieux, même pour ce résident habitué au mutisme de la nature.

Alors l'homme décida de se lever, titubant vers l'orée de la forêt : peut-être qu'aujourd'hui, il irait faire un tour en ville.

Javier alla au quartier hispanique, cela allait de soi, une grimace collée au visage. Y avait-il toujours autant de monde, la journée ? C'était pour ça qu'il se déplaçait toujours la nuit, parce qu'il pouvait faire ce qu'il voulait, et qu'il était seul. Enfin.. Presque seul, El Coco était une menace bien réelle, il le savait, mais si le boss savait se déplacer silencieusement, Javier était persuadée qu'il pourrait se montrer plus rapide.

Des visages joyeux, des cris de joie, le jeune homme crut même de voir le sourire radieux d'une jolie femme lui être adresser, ce qui lui arracha un rictus en coin et un regard fier. Javier se contenta de remettre ses lunettes étoile en place avant de se retourner pour essayer de retrouver cette charmante dame. Elle avait déjà disparue, et Javier put apercevoir, au loin, le physique noir et blanc d'un boss qui n'était pas dans son quartier habituel : Goosebump.

"Hostia !"

Bien qu'un peu surpris, Javier ne détourna pas le regard pour autant, décidant de mettre une main à côté de son œil pour ne avoir la petite gamine dans son champ de vision. Si j'la vois pas, elle est pas là. Pouffant de sa propre bêtise - car il le savait, si Goosebump décidait de pointer ses doigts dans sa direction et de crier BANG!, personne ne pourrait l'arrêter -, le jeune espagnol se dirigea vers une scène bien plus intéressante.

"Ay, tu fais quoi mon po.., il se coupa la parole lui-même, hé, mais c'est du chocolat!"

Tandis que l'autre se barbouillait de chocolat, Javier lui, plongeait et sortait sa main pour faire plusieurs couches de chocolat dessus. La boss du quartier caucasien parlait toujours, il crut entendre une histoire d'œuf, de chocolat, d'équipe.. mais ça lui passait au dessus de la tête alors qu'il montrait sa main enveloppée de chocolat à son acolyte, aussi fier qu'un enfant le serait.

"J'sais pas c'qu'elle a dit, man, mais moi je me barre au bar à tapas"

Javier laissa l'homme à ses occupations, lâchant un "¡Arriba!" dès plus cliché avant de pouffer de rire.

Tu sais, Javier te parle en #FCDC12, et actuellement, il se dirige au bar à tapas.. Ah, et, MGBVW ça veut dire les Méga Gros Bg Vip de Weirdtown.

KoalaVolant