Torres Maria | Ce ne peut pas être vrai

Nom — Torres
Prénom — Maria
Age — 17 ans
Métier ou activité — Lycéenne
Origine & Nationalité — Colombienne
Langues parlées ou écrites maitrisées — Langue maternelle : Espagnol    Langue seconde : Français niveau intermédiaire
Époque de votre personnage — 2010

Depuis combien de temps êtes vous à Weirdtown? — 2 ans, mais c'est flou.
De quoi avez-vous le plus peur? — Elle a peur que tout son monde s'écroule, si elle découvre que les créatures existent. Tout ce qu'elle connait, serait alors remis en doute... Et Maria ne doute jamais.
Quel est votre plus grand regret? — Il est difficile d'avoir des regrets à 17 ans. C'est ce que Maria s'imagine.
Un objet auquel vous teniez? Pourquoi? — Une loupe, celle de son père. C'est avec cela qu'elle a développé son sens de l'observation, son goût de l'analyse et sa passion de la science.
Êtes vous croyant? — Impossible qu'une force surnaturelle puisse influencer nos vies. Ni dieu, ni Boudha, ni Zeus... Tout à une explication scientifique. Il suffit d'avoir les bons outils pour le comprendre.
Que pensez-vous et quelle relation avez-vous avec les créatures? Avec les humains? — La relation avec les humains est normale. Elle pars du principe qu'elle apprécie tout le monde, avant de connaître les défauts des gens. Ce qui est des créatures, elle est un peu plus réticente. Croyant qu'ils ne sont juste que des menteurs usant de tour de magie, elle les considère plus comme des sujets d'analyses que de potentielles amitiés.

Quartier hispaniqueRace HumaineInconscientLambdaSortir sous condition

Physique & Caractère —Maria est une jeune adolescente sans caractéristique particulière, son corps se transformant peu à peu en celui d’une femme. Elle se soucie peu de son apparence, ce qui fait que dans la rue, elle passe souvent inaperçue. Elle s’attache souvent ses longs cheveux en une masse mal ordonnée au sommet de son crâne qui lui fait gagner quelques centimètres, porte des vêtements plus ample qui ne le faudrait pour son confort et ses yeux d’un brun presque noir parcours tous les moindres détails de l’environnement où elle se trouve. Sa mère lui répétait sans cesse qu’avec un peu d’effort, elle pouvait faire tourner des têtes, mais cela n’intéressait pas l’adolescente. Maria préfère de loin se concentrer sur des sujets importants comme ses études, savoir comment le monde fonctionne, faire des expériences avec des produits parfois dangereux, au lieu de perdre son temps à chercher les tendances du moment, comment bien se maquiller et remplir des petits questionnaires idiots dans des magazines pour savoir si oui ou non, vous aviez l’étoffe d’une star ! Cependant, elle adore porter des bijoux ; colliers, bagues, boucles d’oreilles. Tel un oiseau, elle adore ce qui brille.

Depuis quelques années, Maria ne peut plus sortir sans ses lunettes. Sa vue s’est dégradée en quelques semaines, les opticiens avaient peur qu’elle devienne aveugle. Heureusement, cela s’est stabilisé et elle peut continuer son activité préféré : lire.

Maria est une personne facile d’approche, sans doute due à ses origines hispanique. Elle part du principe que toute personne est une potentielle amitié. Par contre, cela ne fait pas d’elle une personne naïve. Elle garde tout de même à l’esprit que tout le monde à des défauts. Certaines sont plus tolérables que d’autres. Lorsque Maria rencontre une personne pour la première fois, elle ne peut pas s’empêcher de fixer l’autre lorsqu’il regarde ailleurs. Parfois, elle se prend pour Sherlock Holmes, en quête d’indice, mais elle n’a jamais vraiment réussi à deviner avec exactitude la personnalité de la personne en face d’elle. Une fois que Maria décide qu’une personne est de confiance, elle devient une amie fidèle, prête à tout pour aider. Et si souvent, elle vous contredit, argumente et semble être têtu, ce n'est pas pour faire fuir. Si un sujet lui tient ou une personne à cœur, elle va débattre, décortiquer, contre-dire, analyser. Ces petites manies peuvent vite devenir des défauts et déplaire à son entourage. Par contre, il faut s'inquiéter si elle vous laisse parler sans rien ajouter de pertinent à la conversation.

— MémoireA quoi ressemble votre espace personnel — C'est une porte en bois bien banale muni d'une poignée de porte ronde, couleur bronze. La peinture turquoise commence à s'écailler. La simple vu de cette porte rends Maria nostalgique. À l'intérieur, vous trouverez une bibliothèque bien rangée contenant uniquement des sources scientifiques. Un fauteuil rond est placé près d'une monstera pour la lecture. Il y a un tableau blanc, avec des inscriptions, des mots-clés qui n'ont pas encore de réponse. Une étagère en verre laisse miroiter des cadres de photos, mais tout a été flouté, comme si les brides de ses mémoires s'estompaient à mesure que les années passaient à Weirdtown.
Que ressent-on quand on vient dans votre espace personnel ? Que ressentez-vous ? — Dans cet endroit, les idées culminent. Les connexions que vous aviez du mal à faire pour comprendre telle ou telle chose se mettent soudainement en ordre, sur le tableau blanc, et c'est ainsi que vous comprenez tout, ou presque. C'est le lieu idéale pour réfléchir.
Comment êtes -vous dans le mindscape ? — Dans le mindscape, Maria est un peu plus âgée pour atteindre la majorité. Comme elle a une vieille âme, elle s'est toujours perçu plus réfléchie et plus vieille que ses collègues de classe.
Êtes-vous déjà venu dans le mindscape ? — Jamais. Mais cela ne saurait tardé, car la curiosité de Maria la pousse à explorer là où les humains ne devraient pas aller.
De quoi vous souvenez-vous par rapport à votre ancienne vie ? — Que des brides, des images flous. L'idée d'avoir été aimée et soutenu par des parents, ce qui la pousse à vouloir découvrir les secrets de Weirdtown pour partir sans comprendre qui elle retrouvera de l'autre côté.
Quel est le souvenir de votre ancienne vie qui vous est le plus précieux ? — Surtout des souvenirs qui sont directement relié avec le développement de sa passion pour les sciences.
Quel est le plus grand sentiment négatif qui a précipité la perte de votre mémoire ? — La peur lorsqu'elle s'est rendu compte de toutes les créatures qui l'entourait. Ce n'est effectivement pas vrai, il y a des explications, mais... si elle mourrait ici, sans savoir ?

Ancienne vie —Se lever, prendre le petit-déjeuner, aller à l’école à la hâte parce qu’on allait arriver quelques minutes en retard sinon, suivre des cours, encore des cours et toujours plus de cours. Rentrer le soir, se changer vite fait et aller à un autre cours, de danse latine, cette fois-ci, pour changer, mais la prochaine fois, ce sera sans doute le club de débat, ou les jeux d’échecs, il fallait prévoir. Rentrer tard le soir, ne pas avoir le temps de souffler parce qu’il y avait des travaux à remettre la semaine prochaine et mince, oublier qu’il fallait préparer des petits gâteaux pour la campagne de financement pour un stage scientifique prévu dans 3 mois.

C’était le quotidien de Maria. Une élève dévouée, une fille aimante et une personne serviable. Tout le monde disait qu’elle brûlait la chandelle par les deux bouts, qu’à force, elle s’épuiserait avant même d’atteindre la vingtaine. C’était pourtant son souhait, ce qui donnait un sens à sa vie. De plus, si elle voulait être acceptée dans les plus grandes Universités de Colombie, voir même des États-Unis, elle devait faire tout cela. Avoir un CV impressionnant était la clé pour réussir. Dans sa famille, aucune femme ne s’était rendu plus loin que le collège, pas même sa mère. C’était l’une de ses plus grandes motivations, se dire que son sexe ne la freinerait pas dans ses rêves, celui de devenir une scientifique au service du monde.

D’ailleurs, son stage, qu’elle était sur le point de vivre, était l’une des portes d’entrée du domaine. Elle allait aider une équipe scientifique à recueillir des données le long des côtes pour surveiller l’activité maritime, sauver les animaux en détresse et analyser les besoins à venir pour l’environnement. Sa mère était réticente, car chaque fois que Maria parlait de ce projet, un corbeau venait se poser dans la cours. Maria expliquait cela au fait qu’il y en avait beaucoup dans la région et que la nourriture que sa mère mettait dans les mangeoires les attirait, mais Mama Torres était persuadée que c’était un signe de Dieu. De toute façon, il était trop tard pour changer d’avis, la dernière fois qu’elle mit sa fille en garde, elle était à l’aéroport, prête à partir.

Personne ne sut jamais ce qui arriva à la jeune Maria. Officiellement, dans les journaux, elle a été déclarée disparue dans d’étranges circonstances. Dans la réalité, Maria avait rejoint Weirdtown.

— Nouvelle vieChaque matin, depuis un peu plus de deux ans, Maria se réveille avec un sentiment de malaise. En général, cela ne dure que quelques minutes et oublie par la suite qu’elle a eu ce sentiment. Ce n’est seulement que pendant ce bref instant, entre le rêve et le monde conscient, que sa mémoire essaie de se remémorer l’événement tragique qu’elle a vécu qui l’a amené dans cet endroit.

La première journée, Maria était très désorientée. Elle n’avait jamais vu cet endroit de sa vie, mais elle savait ce qu’elle devait faire : aménagé dans un logement qu’on lui avait assigné et assister à ses cours au lycée. C’était étrange. Les semaines qui suivirent, elle vivait une vie presque normale, mais elle avait du mal. Maria avait l’habitude d’enchaîner les cours et les activités pour explorer ses passions, mais là, elle devait s’organiser par elle-même. Si son esprit avait oublié qu’elle dépendait encore de ses parents, il n’y a pas si longtemps, son corps lui n’avait pas oublié et c’est pourquoi elle avait tant de mal.

Néanmoins, ce qui l'avait le plus choqué, c’était toutes ces créatures, ces êtres qui disaient être venus d'ailleurs, ces « activités paranormales » qui se produisaient quelques fois. Ce devait être une blague, une caméra cachée quelque chose de plus rationnel. Depuis ce jour, Maria avait une mission ; celle de découvrir la réalité et démasquer la supercherie. C’est ainsi qu’elle avait rencontré Miguel. Elle ne l’appréciait pas particulièrement, mais il était utile… Et ils avaient un marché. Des résultats de recherche contre des créatures. En somme, si elle quittait cette ville, ce serait parce qu’elle aurait prouvé que le paranormal et toutes les circonstances étranges de cette ville étaient une blague de mauvais goût.

Faculté —Les sciences, tout simplement. Comme si avoir des pouvoirs était possible. On est pas dans une BD de Marvel !

—LiensQue pensez-vous des Boss? En avez-vous déjà croisé un? — On en entend parler, dans les bruits de couloir. Le quartier hispanique à très peur le soir, mais Maria à de la difficulté à croire qu’ils existent. Il faut cependant avouer qu’ils lui font peur, c’est pourquoi elle a développé une méthode scientifique pour découvrir tous les mécanismes derrière ces effets spéciaux : commencer par les petites créatures et terminer par celles qui sont susceptibles de vous tuer. Elle tient à la vie tout de même.
Voudriez-vous faire partie d'un groupe secondaire? — Toujours partante pour des groupes extra-scolaire !
Aimeriez-vous avoir un lien avec un PNJ? Si oui, lequel? — Si l’univers en décide ainsi !
Avez-vous des liens avec qui que ce soit? Des personnages de membre ou même simplement inventé par vos soins? Précisez s'ils se trouvent à Weirdtown et si vous vous souvenez d'eux. — Pour le moment, un seul lien prédéfini : Miguel Gonzales
Ce Miguel est tellement bizarre à la limite du flippant et du répugnant, elle aimerait ne rien avoir à faire avec lui mais elle n'a pas vraiment le choix, il est le meilleur dans son domaine. Puisqu'elle veut en savoir davantage sur les créatures, c'est  à lui qu'il faut s'adresser même si elle n'aime vraiment pas ses méthodes.

Partante pour tout type de lien.

L'âme derrière le personnage —Je suis une joueuse au sang de sirop d'érable qui revient dans le monde du Rp après une très longue pause. Je m'appelle Emilie, toujours étudiante bien que j'approche la trentaine (ça fait mal de l'écrire.). Je suis une personne qui ne se casse pas la tête, qui aime rire et laisser la vie la porter là où elle doit m'amener. Pour finir, je ne mord pas, c'est juste arrivé une fois au chalet   (pour ceux qui ont la référence wink wink)

a plus ! hâte de RP avec vous :)