Time changed, we're different... - Feat XiãoSam 19 Aoû - 20:53
Time changed, we're different but my mind still sayis redundant thing, can I not think ?
On a cassé la vitrine du shop de Kyô. Celui-ci appelle la police sans reconnaître celui qui vient constater les dégâts.
Ô rage ! Ô désespoir ! Le voilà à peine installé que son shop était vandalisé. Une pierre jetée par la fenêtre qui trahissait un geste peut-être prémédité. Peut-être un refus de voir s’ouvrir un tattoo shop dans le quartier. Peut-être le geste simple de quelqu’un d’un peu alcoolisé sur le chemin du retour d’une soirée. Qui sait. Kyô lui ne le sait pas, il est simplement là pour constater les dégâts ! Une vitre fracturée. Heureusement rien n’a été volé, tout est intacte dans le shop.
Son premier réflexe avait été de joindre les autorités pour les prévenir de ce qu’il s’était passé. N’était-ce pas là -après tout- la procédure habituelle ? Il avait eu au téléphone un homme à la voix suave qui lui avait indiqué qu’il arriverait dans une dizaine de minutes, et le voilà qui attendait patiemment sur le trottoir à côté du shop l’officier qui devait venir prendre sa plainte. Car plainte il y aurait, quand bien même il n’y avait personne pour réparer la faute.
Une tasse de café dans la main, son cache-oeil sur le visage, on aurait pu le prendre pour un méchant de jeux vidéo, sauf qu’il n’était qu’un humble artiste auquel on avait cassé la vitre de son gagne pain quelques jours avant l’ouverture de celui-ci. Il faudrait au moins une semaine pour prendre rendez-vous avec un artisan capable de refaire l’installation, ce qui signifiait repousser l’ouverture du shop de quelques jours. Kyô laisse échapper un soupir.
Il craque une allumette pour allumer sa cigarette, ayant récemment perdu son briquet et devant se rabattre sur la solution la plus simple. Tirer une taffe sur le bâtonnet lui tire une quinte de toux, mais il est habitué; avec un demi-poumon, pas simple de fumer.
Son regard azur clair se porte sur l’horizon alors qu’il guette jusqu’à observer un véhicule de police en approche. Là, il se redresse, prêt à accueillir le policier qui est sensé venir constater les dégâts, l’air sur son visage trahissant un léger agacement.
Tattoo shop de Kyô - Feat Xião
Son premier réflexe avait été de joindre les autorités pour les prévenir de ce qu’il s’était passé. N’était-ce pas là -après tout- la procédure habituelle ? Il avait eu au téléphone un homme à la voix suave qui lui avait indiqué qu’il arriverait dans une dizaine de minutes, et le voilà qui attendait patiemment sur le trottoir à côté du shop l’officier qui devait venir prendre sa plainte. Car plainte il y aurait, quand bien même il n’y avait personne pour réparer la faute.
Une tasse de café dans la main, son cache-oeil sur le visage, on aurait pu le prendre pour un méchant de jeux vidéo, sauf qu’il n’était qu’un humble artiste auquel on avait cassé la vitre de son gagne pain quelques jours avant l’ouverture de celui-ci. Il faudrait au moins une semaine pour prendre rendez-vous avec un artisan capable de refaire l’installation, ce qui signifiait repousser l’ouverture du shop de quelques jours. Kyô laisse échapper un soupir.
Il craque une allumette pour allumer sa cigarette, ayant récemment perdu son briquet et devant se rabattre sur la solution la plus simple. Tirer une taffe sur le bâtonnet lui tire une quinte de toux, mais il est habitué; avec un demi-poumon, pas simple de fumer.
Son regard azur clair se porte sur l’horizon alors qu’il guette jusqu’à observer un véhicule de police en approche. Là, il se redresse, prêt à accueillir le policier qui est sensé venir constater les dégâts, l’air sur son visage trahissant un léger agacement.
Tattoo shop de Kyô - Feat Xião
by lilie