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Bakh Minho || Your life can't fall apart if you never had it together!Dim 24 Mar - 20:41
Prénom — Minho (민호)
Age — 23 ans
Métier ou activité — Staff à la salle d'arcade
Origine & Nationalité — Sud-Coréen
Langues parlées ou écrites maitrisées —
→ Coréen: Écrit: 5/5 (Natif) | Parlé: 5/5 (Natif)
→ Polonais: Écrit: 3/5 (Ta mère ne s'est pas concentrée dessus) | Parlé: 5/5 (Tu parlais polonais avec ta mère)
→ Anglais: Écrit: 3/5 (Apprit à l'école) | Parlé: 4/5 (A eu une classe anglophone depuis le jardin d'enfant)
→ Japonais: Écrit: 1/5 (A les bases des bases) | Parlé: 2/5 (A les bases)
Époque de votre personnage — 2010
Depuis combien de temps êtes vous à Weirdtown? — 1 an
De quoi avez-vous le plus peur? — Philophobie/Gamophobie, tu as une peur bleue de tomber amoureux et de t'engager dans un mariage. Tu as toujours évité les réelles relations trop proches avec les personnes du sexe opposé mais il t'est arrivé de prendre peur avec des personnes du même sexe que toi. Alors tu as tendance à faire semblant d'apprécier les gens, refusant de t'engager dans une véritable relation même amicale de peur que cela glisse sur de l'attirance amoureuse.
Mais paradoxalement, tu as peur de ne pas être aimé, d'être rejeté et d'être mis de côté. Toi-même tu ne comprends pas ton cerveau alors tu fais avec.
Quel est votre plus grand regret? — Ton plus grand regret c'est de ne pas savoir arrêter de faire semblant. La vie serait bien plus simple si tu arrivais à repousser les gens plutôt que de faire semblant de partager leurs sentiments alors que c'est absolument pas vrai. Tu aurais moins l'air d'un enfoiré à tes yeux et rien que ça, ça serait cool.
Un objet auquel vous teniez? Pourquoi? — Non.
Êtes vous croyant? — Tu ne crois pas vraiment en un dieu ou une force particulières mais tu as baigné dans un univers bouddhiste et shiniste depuis ta naissance.
Que pensez-vous et quelle relation avez-vous avec les créatures? Avec les humains? — Que les gens soient humains ou non, avec toi ils sont logés à la même enseigne. Personne n'est tout blanc ou tout noir, tout est une question de nuance de gris. Alors à tes yeux, on peut avoir six rangées de dents et mesurer trois mètres, si on ne te veut pas de mal, tu n'as rien contre eux.
Quartier CaucasienHumainInconscientLambdaRester
Ton physique fait rêver les jeunes femmes. C'est bien connu, les métisses ont presque toujours un charme en plus, de ce fait, tu as toujours eu du succès physiquement parlant (à ton plus grand désespoir). Légèrement plus grand que la moyenne coréenne, tu culmines à 180cm, tes cheveux noirs et tes yeux en amandes sont les vestiges de ton côté paternel, tes yeux clairs et ta peau légèrement plus pâle que celle d'un coréen sont les vestiges de ton côté maternel. En quittant le lycée, tu as fais teindre quelques mèches sur le devant de ton visage en bleu, ta couleur favorite. Ca a fait criser tes parents et tu en étais un peu content, sale gosse que tu étais. Tu t'habilles de manière à plaire, tu sais ce qui te vas et ce qui ne te vas pas. Tu t'es toujours mit en valeur et très bien. Après tout, Fake it until you make it. Tu es un professionnel pour faire genre que tu veux être entouré de personnes que tu aimes (à ce qu'il paraît tu dois les aimer). Et quoi de mieux qu'être beau pour attirer les gens populaires?
Même après le lycée tu as gardé cette habitude, elle s'est même empirée à l'université.
Caractériellement parlant, tu es doué pour mentir. Aussi bien aux autres qu'à toi-même. Après tout, pour mieux berner les autres, il faut se berner soi-même. Tu sembles être quelqu'un d'amical et superficiel, bien plus que le cliché du coréen de base qui est dans son petit monde et qui parle que s'il voit qu'on lui parle en premier. Non, toi tu vas vers les gens, grand sourire aux lèvres. Tactile, tu n'hésites pas à te rapprocher ou à initier un contact avec les personnes autours de toi. Très bon dans ton métier, tu sais jouer de tes charmes et, observateur comme tu es, tu arrives facilement à savoir ce qu'aime telle ou telle personne. Tu sais garder les secrets (car tu les oublies) et tu es muet comme une tombe, lorsqu'on a besoin de s'exprimer ou d'une épaule sur laquelle pleurer, tu es toujours présent. Globalement on t'aime beaucoup -ou pas du tout-.
Mais lorsque tu fermes la porte de chez toi, tu es une toute autre personne. Directement, tu mets tes affaires à laver et tu prends une douche ET un bain, tu n'aimes pas toucher les personnes, tu risques de t'en attacher. Tu fais des efforts concidérables pour essayer d'oublier les personnes que tu as rencontré et tu fait tout le temps la gueule. Il n'y a rien à sourire.
Tu ne réponds pas aux messages que tu reçois lorsque tu es chez toi, tu veux être seul, ne pas faire semblant d'aimer les gens, tu leur réponds lorsque tu remets ton masque avec un "Pardoooon, je m'étais endormi ㅜㅜ Je te payes un café pour me faire pardonner? (^_^)b"
Tu te sens étrange dans cette vie. Comme si tu n'étais pas fait pour être ici, comme si tu n'étais pas vraiment toi. Tu as l'impression d'être un automate par moment, tu te sens engourdi émotionnellement et physiquement, comme si tu ne pouvais qu'observer ton corps bouger. Par moment tu as même l'impression d'être dans un rêve, les couleurs du quartier hispanique te semblent fades, l'hiver du quartier caucasien ne te semble pas si froid, le temps passe encore plus bizarrement qu'à l'accoutumé, il semble ralentir ou s'accélérer, des objets peuvent devenir flou comme s'ils n'étaient pas réels, il leur arrive de changer de taille à tes yeux...
De ce fait, il t'arrive souvent de vérifier la réalité d'une chose ou d'une personne. Lorsqu'on te parle, tu viens faire un contact avec elle ou avec l'objet que tu regardes. Si tu n'es pas seul, tu demandes si ce n'est que toi et après tu le tournes en blague pour qu'on ne pense pas que tu sois plus bizarre que tu peux l'être dans cette ville pour fou.
Mais au fond de toi, tu sais que ces périodes ne sont pas réelles... Et de tout ça, tu n'en parleras jamais, tu n'es pas fou, n'est-ce-pas?
Le bureau est un bureau bas, avec une chaise japonaise sans pieds. Il y a des cahiers, une lampe et un pot à crayon dessus alors que les tiroirs sont remplis de contrôles avec des notes avec 95/100 comme minimim. Derrière la chaise se trouve une étagère avec des livres pour les cours, des livres pour le piano, des livres sur les bonnes manières. Il y a un cactus, des vitamines, des papiers et un cadre vide.
De l'autre côté de cette étagère se trouve son lit, un lit très confortable d'une place et demie, avec des pieds de lit très petits. Il est parfaitement fait et un cadre vide est à nouveau présent sur la tête de lit. En face du lieu de sommeil se trouve un miroir sur pied. (www)
Lorsqu'on lève les yeux au plafond, on peut remarquer des traits foncés et des reliefs sur la peinture blanche... Comme si des yeux étaient fermés. Aucun son n'est dans cette pièce, hormi les paroles, rien ne sort.
Directement à côté de la porte se trouve une autre porte avec des tasseaux de bois clairs, celle-ci est fermée à clé et seul toi peut l'ouvrir.
A l'intérieur, c'est la même pièce à quelques détails près. Le bureau est sans-dessus, sans-dessous, les contrôles dans les tiroirs ont des notes avec des 20/100 comme maximum, des cahiers gribouillés avec écrit "도와 주세요" (à l'aide) dans tout les sens en noir. Les pages sont légèrement gondolées comme si elles avaient été remplies de larmes.
La bibliothèque est remplie de médicaments, de vitamines et de patch pour rester réveiller, le lit est dur comme une pierre, il n'y a plus d'oreiller et sa couverture ne peut pas s'ouvrir. Le miroir est cassé et une corde est posée à côté avec un noeud bien particulier.
Lorsqu'on lève la tête, on remarque que le plafond est couvert par des yeux qui scrutent le moindre de nos mouvements et si on s'approche de quelque chose, des chuhottement incompréhensibles sont audibles, mais on sait que ces chuchottements parlent de nous, en mal, ces chuchottements nous critiquent sur tout.
Refermez cette porte, s'il vous plaît.
Que ressent-on quand on vient dans votre espace personnel ? Que ressentez-vous ? — Quand quelqu'un vient dans ton espace personnel, dans la première pièce on se sent comme lorsqu'on rentre pour la première fois dans la chambre d'un ami et ce, même si c'est la quinzième fois qu'on y entre.
Pour toi, cette pièce t'apporte un réconfort. Tu ne sais pas pourquoi mais tu t'y sens bien, comme dans une coquille, protégé du monde extérieur, tu ne veux pas y repartir.
L'autre pièce met mal à l'aise, pour les plus fragile d'esprit, cette pièce peut provoquer des paniques, des pleurs ou encore des nausées. On ne s'y sent pas à l'aise, on est jugé, rabaissé, surveillé. On a cette envie de fuir qui grandit au fur et à mesure que les secondes passent.
Comment êtes -vous dans le mindscape ? — Physiquement parlant tu es le même, rien ne change. Mentalement parlant, tu es heureux, réellement. Moins tactile car tu ne fais plus semblant d'aimer les personnes autours de toi mais toujours aussi amical. Tu es apaisé, aimé et tu aimes. Que demander de plus?
Êtes-vous déjà venu dans le mindscape ? — Une fois dans la semaine qui a suivi ton arrivée, tu ne t'en souviens pas du tout.
De quoi vous souvenez-vous par rapport à votre ancienne vie ? — D'un placard à vêtement avec une porte à tasseaux en bois clairs. Lorsque tu entrais dans le placard, ce n'était jamais une bonne chose mais parfois c'était pire que d'autres. Mais... Tu ne te souviens plus de pourquoi.
Quel est le souvenir de votre ancienne vie qui vous est le plus précieux ? — Une personne te caressant la tête, te disant de simples mots "괜찮아요" (Ce n'est pas grave).
Quel est le plus grand sentiment négatif qui a précipité la perte de votre mémoire ? — Tu ne sais pas pourquoi mais tu étais terrifié à l'idée de te souvenir d'avant, tu ne voulais plus rien à voir à faire avec ce dont tu ne te souvennais pas. Alors tu ne l'as pas fais. Tu sentais que tu voulais juste tout laisser derrière toi et faire une nouvelle vie. C'est ce que tu as donc fait. Tu as rapidement abandonné le fait de te souvenir.
Tu es né, comme tout être humain. Ton père était un homme d'affaire coréen, habitant à Séoul et ta mère est une traductrice polonaise qui s'est marié avec lui suite à une rencontre à l'île de Jeju-do. Très rapidement après leur mariage, ton grand-frère est né. Youhou.
Cinq ans après, c'est toi qui naît. Tout va bien, tu es le plus jeune, le petit bébé. Ton grand frère aime s'occuper de toi, tes parents aussi. Tout se passe bien. Tu es un enfant adorable.
Au jardin d'enfant tu es en classe anglophone, la plupart des activités sont en anglais, tu es un bébé intelligent et très éveillé. Tu grandis en étant le centre de l'attention, tu aimes tes parents et ton frère et ils t'aiment encore plus en retour.
Jusqu'à ce jour fatidique où tu as sept ans. Ton frère en a douze. Et ta petite soeur a quelques jours. Tu passes du petit prince au milieu oublié. Ton frère te dit que tu sais te gérer tout seul et il s'occupe de ta soeur, tes parents quand ils ne travaillent pas s'occupent d'elle. Et toi... Tu es derrière, à les observer. Tu décides de travailler dur à l'école, sans cesse à étudier même à ton jeune âge pour t'assurer que tes parents te regardent. Quand tu rentres avec une bonne note, tout content, tout ce qui t'attend c'est un bref "oui c'est bien".
Plus tu grandis, plus les préférences sont visibles. Tu restes dans ta chambre pour réviser, tu as appris le piano à l'école afin de pouvoir impressionner tes parents, après tout, ils avaient achetés un piano pour ta petite soeur qui ne savait même pas en faire.
...
Jusqu'au divorce.
Tes parents ont fini par se séparer, eux qui vivaient un amour si parfait, ils partageaient tout et... Tout était fini. L'amour ça vient, ça te fait te sentir à ta place et ça repart. C'est vraiment terrifiant. Tu es mieux tout seul. Tu ne veux pas finir ainsi. Tu ne veux pas finir comme tes parents qui essayent de convaincre l'aîné de les rejoindre ou qui se battent pour garder la garde de la plus jeune. Tu ne veux pas être comme ta mère qui part dans un autre appartement mais qui se bat pour avoir la garde totale de ton frère et ta soeur. Et toi dans tout ça?
Finalement, ils ont une garde partagé. Ils sont toujours à jouer à la compétition "Ma chérie, on s'est plus amusée ce week-end que quand tu es avec ton papa non?" "Mon grand, c'est mieux la pêche avec moi plutôt qu'avec le nouveau copain de ta mère non?". On ne demande pas l'avis à l'enfant du milieu. Tu n'existais plus vraiment...
Tes notes ont chutées suite au divorce. Tu es passé d'une moyenne à 95/100 à une moyenne de 80/100. A ce moment-là tout le monde t'a regardé. Mais pas comme tu l'attendais.
On t'a crié dessus, on t'a dit à quel point tu étais mauvais, à quel point tu devais te ressaisir.
On t'a comparé à ta soeur qui était tellement meilleure que toi, à ton frère qui était tellement plus mature que toi.
Tu étouffais.
Alors tu t'es repris. C'est mieux d'être effacé que d'être rabaissé. Alors tu dois travailler, encore et encore. En cours, tu as des amis... Officiellement. Tu es leur ami mais ils ne sont pas tes amis. Pourtant, en apparence tout vas bien. Tu ris, tu sors, tu t'amuses, tu fais des blagues, tu vas chez tes "amis" pour y passer la nuit, vous allez manger des tteokbokki ou du poulet frit ensemble...
Tu as reçu un 60/100, pourtant tu avais travaillé mais une partie de ton devoir était hors-sujet. Tu étais en terminale, tu ne pouvais pas te permettre de te louper. Alors tu as craqué, quand tu pensais être seul, tu t'es mis à pleurer. Tu revoyais la porte du placard où tu allais devoir cacher cette note à ton père, ce placard qui t'a toujours servit d'endroit "calme" pour calmer tes larmes lorsque tu sens le masque s'affaisser. Calmant la crise de panique qui montait doucement en toi, tu sens une main sur ta tête. Tu lèves tes yeux rougis pour voir ton professeur principal il te souriait chaleureusement, observant ta note avant de te dire cette phrase que tu refusais d'entendre. "Ce n'est pas grave". Tu as fini en pleur dans les toilettes avec un professeur qui est resté à tes côtés après avoir verrouillé la porte pour qu'on ne te voit pas. Et c'est la seule fois où tu ne t'es pas senti si misérable suite à une mauvaise note.
Tu as terminé le lycée en tête de classe malgré la pression constante qu'on t'imposait depuis ta baisse de note quelques années auparavant. Tes "amis" du lycée ont fait ces promesses de toujours se revoir, même si vous n'êtes pas à la même université. Bien entendu, en trois ans après le lycée, tu as dû les voir quelques fois lors des premiers mois mais rapidement, ils t'ont remplacé et tu les as remplacé. A l'université, tu vis toujours chez ton père, à temps plein cette fois-ci. A côté tu es serveur dans un restaurant et ça remplit parfaitement tes journées... Jusqu'à ce que tu râtes un partiel de ta troisième année. Te recalant... Tu avais échoué, tout le monde allait avancer sauf toi, tu devais annoncer à ton père que tu devais redoubler... Alors, lorsque tu es rentré avec les résultats de tes partiels, tu es directement allé dans ta chambre. Tu as sorti une ceintre que tu as bouclé et tu as regardé le plafond. Allais-tu le faire? Tu ne savais pas quoi faire, tu étais complètement perdu...
Tu devais trouver un travail, et vite. Tu ne pouvais pas rester à ne rien faire, tu n'arriverais pas à joindre les deux bouts. Alors, après avoir travaillé un mois dans un bar comme serveur, tu as rencontré le monde de l'host. Tu as postulé et grâce à ton physique et tes bases en service, tu as été pris.
Ca fait un mois et demi que tu as commencé ton travail d'host, tu es encore le petit nouveau mais, faire plaisir et s'occuper des gens, c'est quelque chose que tu fais depuis tout petit alors... C'est comme le vélo, une fois qu'on sait le faire, on ne l'oublie jamais réellement.
Puis les jeux du Stade sont arrivés et là... Tout s'écroule pour toi. Ton travail n'est plus là... Mais très rapidement, tu te reprends et retrouves du travail à la salle d'arcade, c'est pas idéal mais c'est là, c'est bien pour le moment.
Tu as croisé Onichan également, une fois ou deux, patrouillant dans le quartier où tu travaillais ou dormant sous le cerisier. Tu te demandes pourquoi tout le monde l'appelle "Grand Frère", pourquoi tu le fais aussi. Agit-il en tant que tel? Mais moins tu l'approches, mieux tu te portes alors tu essayes d'éviter là où il se trouve, changeant parfois de trajet rien que pour l'éviter. Il est simple de le voir arriver, quand on fait trois mètres, qu'on a des cornes et la peau rougée, c'est pas difficile de le repérer de loin.
Voudriez-vous faire partie d'un groupe secondaire? — Pas pour l'instant.
Aimeriez-vous avoir un lien avec un PNJ? Si oui, lequel? — ///
Avez-vous des liens avec qui que ce soit? Des personnages de membre ou même simplement inventé par vos soins? Précisez s'ils se trouvent à Weirdtown et si vous vous souvenez d'eux. — Non.
