Re: You're - Not - my savior ? [PV L'Apothicaire]Mer 3 Juil - 11:14
You're - Not -
my Savior ?
Feat L'Apothicaire
Une « victime » consentante ? De ses maigres souvenirs, elle n’a pas eu ce genre de personne à ses côtés… Mélissandre ? Non, c’était une vampire elle aussi, alors qui c’était ? Son regard se plisse à mesure qu’une douleur vive lui tambourine la tête : elle ne se souvient juste pas de ce petit détail ?! Secouant la tête la poupée répond non sans mal…
Ce n’était pas « humain » de faire ceci à une personne et Luna, malgré son statut particulier, n’oublie pas ses racines. Si elle chasse c’est pour survivre et non pour s’amuser comme le feraient ses congénères. Avoir ses principes peut être néfaste dans sa caste mais vu qu’elle est coincée ici, personne ne viendra l’embêter à ce sujet, si ?
Ah… Donc il est impossible de sortir d’ici ? Est-elle coincée pour l’éternité ? Non, elle refuse d’y croire car même si les dieux l’ont abandonné, la poupée a toujours la conviction qu’elle retrouvera sa famille… Qu’importe. Le. Prix. Elle en sourit à sa remarque, un peu trop posément pour quelqu’un qui est prisonnier ici.
L’un.e est défaitiste à ce sujet, l’autre optimiste. L’un.e vie, l’autre est morte. Ces deux-là sont l’opposé total, mais cela ne fait qu’accentuer l’appréciation qu’à la poupée envers cette personne… Si elle doit discuter ainsi pendant des siècles jusqu’à enfin trouver la sortie de ce monde, alors elle le fera. Dix ans, un siècle, qu’est-ce que c’est dans une vie de vampire ? Rien qu’un battement d’aile.
Ses yeux profonds se posent sur la main posée sur sa propre épaule, la poupée n’aime pas trop le contact mais ne dira pourtant rien : cet individu la tutoie depuis un moment, c’est sûrement une « habitude » de son époque à ellui. De nouveau iel est pessimiste à son sujet, pensant que les malédictions ne peuvent pas être brisés d’une manière ou d’une autre. La poupée saute de son assise et se mets en face de l’Apothicaire, se saisissant d’un de ces pétales de violette. Ça… lui rappelle quelque chose… C’est vague, ce sentiment… mais il est pourtant là, inscrit dans son esprit tourmenté. Ses yeux semblables à deux puits sans fonds se posent sur ellui.
La poupée en sourit même, tenter l’impossible, même pour des causes qui semblent totalement perdues n’est pas quelque chose qui lui fait peur. Les choses sont comme elles le sont, néanmoins lorsqu’on a assez de volonté pour avancer, alors nous pouvons les faire bouger. Même si cela doit prendre des siècles… Naturellement, la vampiresse pose sa main sur sa Perle de Lune, comme pour procéder à un serment inaudible mais pourtant bien présent. Peut-être qu’un jour, Luna retrouvera son humanité comme l’Apothicaire pourra vivre sans tousser de pétale et probablement en mourir ? Si Weridtown existe, alors ceci est possible.
Je doute trouver quelqu’un d’aussi digne…
Personne n’a le souhait de devenir un simple cygne.
Personne n’a le souhait de devenir un simple cygne.
Ce n’était pas « humain » de faire ceci à une personne et Luna, malgré son statut particulier, n’oublie pas ses racines. Si elle chasse c’est pour survivre et non pour s’amuser comme le feraient ses congénères. Avoir ses principes peut être néfaste dans sa caste mais vu qu’elle est coincée ici, personne ne viendra l’embêter à ce sujet, si ?
Ah… Donc il est impossible de sortir d’ici ? Est-elle coincée pour l’éternité ? Non, elle refuse d’y croire car même si les dieux l’ont abandonné, la poupée a toujours la conviction qu’elle retrouvera sa famille… Qu’importe. Le. Prix. Elle en sourit à sa remarque, un peu trop posément pour quelqu’un qui est prisonnier ici.
Mes espoirs ne sont pas brisés, Apothicaire.
Tant qu’il y en aura, je continuerais de chercher.
Quitte à passer un millénaire.
Ma famille m’attend quelque part dehors et ne demande qu’à être retrouvée…
Tant qu’il y en aura, je continuerais de chercher.
Quitte à passer un millénaire.
Ma famille m’attend quelque part dehors et ne demande qu’à être retrouvée…
L’un.e est défaitiste à ce sujet, l’autre optimiste. L’un.e vie, l’autre est morte. Ces deux-là sont l’opposé total, mais cela ne fait qu’accentuer l’appréciation qu’à la poupée envers cette personne… Si elle doit discuter ainsi pendant des siècles jusqu’à enfin trouver la sortie de ce monde, alors elle le fera. Dix ans, un siècle, qu’est-ce que c’est dans une vie de vampire ? Rien qu’un battement d’aile.
Ses yeux profonds se posent sur la main posée sur sa propre épaule, la poupée n’aime pas trop le contact mais ne dira pourtant rien : cet individu la tutoie depuis un moment, c’est sûrement une « habitude » de son époque à ellui. De nouveau iel est pessimiste à son sujet, pensant que les malédictions ne peuvent pas être brisés d’une manière ou d’une autre. La poupée saute de son assise et se mets en face de l’Apothicaire, se saisissant d’un de ces pétales de violette. Ça… lui rappelle quelque chose… C’est vague, ce sentiment… mais il est pourtant là, inscrit dans son esprit tourmenté. Ses yeux semblables à deux puits sans fonds se posent sur ellui.
L’amour ne devrait pas vous apporter une malédiction.
Ces ressentis purs ne devraient être qu’une bénédiction.
Néanmoins, je ne puis me ranger de votre côté.
Que vous le souhaitiez ou non, je vais vous aider.
Toute malédiction, aussi tordue soit-elle, peut être brisée.
Même le vampirisme, même avoir des pétales dans ses poumons.
Cette ville est étrange, alors il ne serait pas étrange d’au moins essayer.
N’est-ce pas ?
Ces ressentis purs ne devraient être qu’une bénédiction.
Néanmoins, je ne puis me ranger de votre côté.
Que vous le souhaitiez ou non, je vais vous aider.
Toute malédiction, aussi tordue soit-elle, peut être brisée.
Même le vampirisme, même avoir des pétales dans ses poumons.
Cette ville est étrange, alors il ne serait pas étrange d’au moins essayer.
N’est-ce pas ?
La poupée en sourit même, tenter l’impossible, même pour des causes qui semblent totalement perdues n’est pas quelque chose qui lui fait peur. Les choses sont comme elles le sont, néanmoins lorsqu’on a assez de volonté pour avancer, alors nous pouvons les faire bouger. Même si cela doit prendre des siècles… Naturellement, la vampiresse pose sa main sur sa Perle de Lune, comme pour procéder à un serment inaudible mais pourtant bien présent. Peut-être qu’un jour, Luna retrouvera son humanité comme l’Apothicaire pourra vivre sans tousser de pétale et probablement en mourir ? Si Weridtown existe, alors ceci est possible.
Après tout, ne sont-iels pas deux créatures nées de l'impossible ?