Quartier asiatique femme

Nationalité: Coréenne
Époque: De nos jours
Souhaite sortir, rester dans la ville ou peu importe: Peu importe
Relation: Kum Jae-Sun
Regardez le donc, ce type ne fait aucun effort. Son physique est moyen, son attitude est moyenne et il passe ses journées à geeker. C'est donc, tout naturellement, qu'elle a décidée de lui faire prendre conscience qu'il fonce droit dans le mur en se moquant royalement de lui. Seulement, cela a juste l'effet inverse et cela ne fait que l'agacer. Comment peut-on ne pas vouloir rentrer dans le moule? Il semble pourtant de la même nationalité qu'elle, il devrait être le plus a même de la comprendre, non?
Ce qui est modifiable: Histoire, nom, ses envies de rester ou non, son avatar

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Des années à se faire bully étant petite ont conduit cette jeune fille, comme bon nombre avant elle, à se faire de la chirurgie esthétique pour mieux correspondre à l'idéal qu'on attend d'elle. C'est elle maintenant la bully, c'est elle maintenant qui prend sa revanche sur la vie, sur les autres, au final elle ne faisait certainement que participer à ce cercle vicieux avant d'arriver ici. Elle ne se souvient plus de son passé, elle ne se souvient plus pourquoi rentrer dans le moule, faire comme les autres étaient si important pour elle. Ici, plus rien n'a de sens, alors la jeune fille se sent quelque peu perdu. Que faire à présent, si la société est aussi chaotique? Se rassurer en ayant le même comportement qu'avant, en se hissant plus haut qu'eux tous, en créant une barrière afin de se proteger, soi et ce qui semblait avoir de l'importance. Pour ne pas se perdre, pour que tout ses sacrifices n'aient pas été vain.

Nationalité: Japonaise
Époque: Début Edo (1603-1868)
Souhaite sortir, rester dans la ville ou peu importe: Sortir sous certaines conditions
Relation: Onichan
Suzuki était au début très alerte en la présence du Oni mais peu à peu elle lui a trouvé une douceur inattendue, elle l'apprécie mais garde néanmoins toujours un oeil sur lui. Cette fois davantage pour lui et pour les autres qu'uniquement pour protéger autrui de ses élans de colère.
Malédiction: Au choix
Ce qui est modifiable: Époque (entre Edo à de nos jours; attention il faudra donc changer l'histoire en conséquence), nom, avatar, malédiction

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Les Miko ont toujours eu un lien particulier avec les kamis et même les yokais. Messagère des divinités, elles ont eu elles aussi leurs heures sombres, heureusement Fude a échappée à l'ère Sengoku où le chaos régnait et où les mikos itinérantes finissantes presque par se prostituer pour survivre. La jeune femme se souvient, le calme était revenu mais le shogunat voulait interdire les activité spirituelles des mikos pendant que la restauration impériale. Le rôle de la miko était en train de changer; elle allait passer davantage de temps à aider au fonctionnement du sanctuaire et tenir des boutiques de celui-ci. C'est à cette même époque qu'on pensa qu'offrir des omikuji serait une bonne alternative. Tout cela rendait bien triste Fude, il semblait bien loin le temps où la miko exécutait des danses cérémonielles, des rituels de purification et de passage dans l'au delà. Etait-ce cela, son avenir? Passer un coup de balais et s'occuper d'encaisser l'argent des visiteurs?

Il n'y avait pas que ça qui inquiétait la japonaise, non, c'était la vision du pays envers les yokais. Ils étaient passés d'être craint à des êtres "divertissants". Une source d'amusement, les yokais? Si elle voyait le bon pour les yokais qui était injustement vu comme des abominations, il ne fallait pas pour autant s'en amuser et les sous-estimer. Les yokais restent dangereux, certains ont une nature qui les pousse à être mauvais.
Perdu entre son envie de continuer à croire les préceptes qu'on lui avait enseigné en protégeant et conseillant son prochain sur le fait de ne pas irriter les kamis et les yokais tout en les respectant et l'envie simplement de ne pas rentrer en opposition avec cette nouvelle vision et les mesures du shogunat, c'est là qu'elle trouva cette ville étrange.

Nationalité: Vietnamienne
Époque: 1980
Souhaite sortir, rester dans la ville ou peu importe: Rester
Relations: Nishiouji
Un vendeur de masque et une fabricante de masque ne pouvait que coopérer ensemble afin de lancer un business lucratif pour eux d'eux. Lui il vend, elle, elle fabrique. La jeune fille est tellement obsédé par son travail et a faire des masques toujours plus parfait, plus beaux, plus réalistes, qu'elle ne fait pas vraiment attention à Nishiouji. D'ailleurs elle ne sait toujours pas si c'est un il ou un elle, cela ne semble pas importer pour le vendeur alors. C'est un bon collègue qui se contente de faire son travail sans poser de questions, elle ne pourrait rêver meilleure personne.
Bénédiction: Info à demander à l'admin

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Ça fait un moment qu'elle ne sort plus. Ça fait un moment qu'on ne la voit plus. Cela fait plusieurs mois que la jeune fille reste cloitré chez elle à la place de venir en cours. Bien sûr tout le monde sait qu'elle fait des travaux de coutures pour réparer certains vêtements d'habitants qui la paye gracieusement pour ses services mais cela ne l'a jamais empêcher d'aller en cours. Pourtant depuis quelque temps, elle semble s'être intéressé à la fabrication de masque ainsi qu'à la peinture de ceux-ci. Elle semble exceller dans ce domaine mais refuse tout le reste. Parfois elle en oublie de manger, de boire, de dormir tant elle est concentrée dans son travail. Pourquoi fait-elle des masques? Qu'en fait-elle? Pourquoi était-elle devenue si obsédée par ceux-ci?

Si autrefois c'était une jeune fille souriante, serviable et sociable, à présent elle est taciturne et semble s'être refermé sur elle-même, refusant les commandes même payante que lui demande ses voisins ou les autres, passant ses journées chez elle, dans son atelier, entourées de ses masques. Parfois, on l'entend prise d'un accès de rage et tout renverser, puis après un moment elle remet tout en place et retourne à l'ouvrage.

Nationalité: Japonaise
Époque: Milieu Edo (1603-1868)
Souhaite sortir, rester dans la ville ou peu importe: Peu importe

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Depuis combien de temps est là Misaki? Elle ne sait plus, il lui semblait qu'avant elle était une Oiran très convoitée mais elle a dû s'adaptée et à présent elle est hôtesse de bar. Elle a beau avoir 42 ans, la femme parait plus jeune que son âge et garde ce charme et cette beauté qui la définisse bien. Beaucoup dise d'elle que c'est une femme fatale et qu'elle a un sacré caractère malgré ces sourires amicales et irrésistible, on dit surtout d'elle qu'elle aime l'argent et les jolies choses ainsi aime t-elle qu'on l'a couvre de cadeaux et qu'on prenne soin d'elle.

Misaki a besoin de s'entretenir et qu'on l'entretienne, c'est une philosophie chez elle de conserver une apparence séduisante, sans cela que serait-elle? Elle met peut-être un peu trop d'importance là-dedans, oubliant qu'elle est aussi une femme intelligente, malicieuse et étant tellement à l'écoute qu'elle sait bien des choses sur les habitants de cette charmante ville.

Mais voilà, dans sa famille et surtout à son époque, c'était plutôt "soit belle et tais toi". Bien sûr c'est parce qu'elle a réussit à se faire une place tout en haut qu'elle sait ce qu'elle vaut et estimer mériter ce qu'il se fait de mieux et ne laissera pas marcher sur les pieds. Malheureusement elle ne mettra jamais en avant ses idées, si bonnes soient-elles.

Nationalité: Chinoise
Époque: 1700
Souhaite sortir, rester dans la ville ou peu importe: Partir
Ce qui est modifiable: Époque (entre 1700 et 1800), histoire, ses envies de rester ou non, conscience

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Le premier "fils" de monsieur Chen fut une fille. C'était une déception, surtout dans l'art du combat mais également pour poursuivre la lignée et assurer une descendance qui prendrait la relève à leur tour. Pourtant, Jian a été élevée comme un homme malgré les complaintes de sa mère qui a tout fait pour qu'elle reste un minimum féminine. Toutes ces histoires de trouver un mari, de bien se maquiller, se comporter, s'habiller n'a jamais vraiment intéressé la jeune femme. Elle était comme son père et voulait parfaire le Tai-chi et malgré son statut de femme, elle se révélait très douée dans ce domaine. Tout aurait pu continuer ainsi mais les années passent et il fallait qu'elle se trouve quelqu'un, elle devenait source de conflit entre sa mère et son père, tous les sujets de conversation revenait inlassablement vers son avenir. Pas en tant que maitre des arts martiaux, ou escorteurs de caravanes et marchands, non, en tant que femme d'un époux. En tant que femme au foyer. Et ce n'est pas l'arrivée d'un petit frère qui arrangea les choses.

Le point positif est que ses parents ne se disputaient plus puisque son père était ravi d'avoir enfin un garçon qui allait pouvoir assurer la pérennité de la famille Chen et de leur arts, le point négatif est qu'elle n'avait plus le soutien de son père et que celui-ci ne se préoccupait plus que de son frère. Elle se sentait si....abandonnée, seule, contre un destin inéluctable qui l'attendait et dans lequel elle n'avait pas son mot à dire. Jian était une fille pleine d'honneur et infliger le déshonneur sur sa famille était bien la dernière chose qu'elle voulait, ce qui était d'autant plus difficile pour elle puisque son envie de ne pas finir en femme au foyer était tout aussi forte. Tout semblait aller dans le sens de ses parents mais Jian finit par fuir.